Témoignages

« Issue de la migration, mon parcours personnel me permet de reconnaître que le logement est la clé de voûte d’une bonne intégration sociale. J’ai eu la chance durant mon parcours de faire des rencontres que je qualifierai, aujourd’hui, de privilégiées car elles m’ont donné la chance d’être accompagnée, non seulement dans mes démarches de logement et autres mais également de bénéficier d’un accompagnement spirituel ».

Françoise, décembre 2011

« Ce qu’il nous reste de vie terrestre, qu’il y soit donné sens, de manière féconde, et, autant que possible, haute et forte en couleurs. D’où l’ambition de notre projet ».

Annabelle, 28 décembre 2011

« Ce qui m’intéresse dans le projet ‘Fondation Josefa’, c’est, si je puis dire, ‘l’angle d’attaque’, à savoir une insertion réussie de personnes dites étrangères à travers ses diverses composantes : économique, sociale, culturelle, psychologique et spirituelle, en un mot comportant l’intégralité de l’être humain ».

Jean-Louis, 15 janvier 2012

« La Fondation Josefa s’apparente pour moi à une maison. La maison pour son aspect chaleureux, collectif, solidaire. La maison comme lieu de rendez-vous familial, comme lieu de repos et de paix ; la maison, car c’est là que l’on peut se ressourcer, trouver l’apaisement ».

Louise, janvier 2012

« Tout homme porte en lui une dignité. Cette dignité lui est intrinsèque, indépendante de son état, de son stade de vie, et même de ses actes aussi bons ou aussi mauvais soient-ils. Chaque être humain est infiniment plus que ses actes ou que ce qui lui arrive dans la vie, le fait de devoir quitter son pays par exemple… ; responsable de ses actes, il est pourtant plus que ses actes ».

Marc, 20 janvier 2012

« Dans le projet de la Fondation Josefa, il nous semble qu’il y a un enjeu prophétique : cet entre-accueil de migrants-réfugiés ayant chacun un visage et une histoire se veut accueil de la personne dans toutes les dimensions de son être (physique, psychologique et spirituelle) et invitation, au cœur de notre ville, à changer de regard les uns sur les autres…, à faire de l’étranger, un hôte alors que l’on peut être tenté par des replis identitaires en ces temps de crise ».

Patricia, janvier 2012