Migration efficace… fiscalité positive

S’agirait-il d’une nouvelle herméneutique fiscale à laquelle la Fondation Josefa s’invite ? Il est possible de le penser, dans le sens où la Fondation Josefa veut rendre certaines de ses lettres de noblesse à une fiscalité, jusque là, peu propice à retenir l’impact positif de la migration forcée…

En quelque sorte, le jeu est de considérer qu’une fiscalité efficiente, dont les produits pourraient se porter auprès de personnes réfugiées, avec des vertus fortement économiques, verraient en retour se déployer le nombre des acteurs fiscaux et leur contribution.

En effet, la réussite des uns ne peut qu’encourager celle des autres et devenir incitatrice d’une plus grande répartition de l’effort fiscal ; à condition qu’une confiance grandissante soit accordée à la présence productrice d’intérêts de personnes réfugiées dont la migration forcée devient alors créatrice d’une fiscalité positive, fruit de leur travail, voire de leur capital !